Amir Taha, que les lecteurs de Waa SOODAAN connaissent maintenant, poursuit ses recherches. Plongé dans ses livres, il lit, prend note, analyse et conclut…
C’est ainsi qu’il en est arrivé à découvrir la véritable identité de Dhul Qarnayn. A travers son texte, l’on voit clairement que ce n’est pas du tout Alexandre le Grand. Ses recherches montrent que Dhul Qarnayn est venu au Sénégal terre de l’Imam al-Mahdi (psl). Qui est en fait Dul Qarnayn ?
A la lumière des quelques liens établis entre Muhammad et Jésus (pse), il est à rapporter que toutes les vaticinations faites par le Prophète au sujet des signes précurseurs tant du point de vue de leur retour que du point de vue des éléments perturbateurs annonçant leur venue, se cristallisaient autour des années 1800 à 1900. C’est ce que laisse transparaître un hadith du Prophète très édifiant d’enseignement :
« L’envoyé de Dieu (psl) se porta au-devant de nous, tandis que nous nous entretenions de l’Heure, il nous demanda :
-De quoi parlez-vous ?
-De l’Heure, répondîmes-nous.
-Elle n’aura pas lieu tant que vous n’aurez pas vu les dix signes suivants, dit-il. Et il énonça : La fumée, l’antéchrist, la bête, le lever du soleil à l’Occident, la descente de Jésus Fils de Marie, Gog et Magog et trois tremblements de terre… Enfin, il mentionna un Feu… » (Les signes de la Fin des Temps: pp 91 et 92).
Nulle doute que la Fumée dont il est question ici (dukhan en arabe) fait référence à la cigarette dont les ravages n’ont cessé de décimer nombre de consommateurs, usage que Mahdi Imamoul Lahi (psl) a strictement interdit. Il faut surtout noter que la première cigarette fut créée en 1843, alors qu’en 1845 naissait Seydina Imamoul Lahi (psl) (1). Ce fléau mondial continue de faire son bonhomme de chemin entrainant dans son sillage des victimes indénombrables. La bête peut tout aussi représenter par allégorie, le char de combat dont l’apparition eut lieu en 1916 alors que la guerre faisait rage ; il y a aussi l’apparition du train dont la traction à vapeur fut inaugurée en 1812. Au sujet de la bête, un verset coranique s’y réfère :
« Quand la Parole tombera sur eux, nous ferons sortir à leur intention une bête surgie de la terre qui leur parlera. Elle leur dira que les hommes n’étaient pas persuadés de nos signes ». (S27 V82).
Le terme coranique utilisé pour qualifier la Bête est Dabatan, or en langage populaire chez certaines peuplades, lorsqu’ils parlent de char de combat, ils emploient le terme Dabbéba, et on sait à quel point cet engin fut exponentiellement destructeur. Le lever du Soleil à l’Occident n’est autre que la réapparition du Prophète dont la renaissance eut lieu en l’an 1845 et en 1884, il appela les Hommes et les Djinns à y répondre afin d’être sauvés. C’est ce même sauveur dont nos difficultés lui pesaient, qui en Orient disait :
« Lorsque vous entendrez parler du Mahdi, allez lui faire allégeance, dussiez-vous traverser des montagnes de glaces à genoux. » (Ibn Majan).
La descente de Jésus comme stipulée dans le hadith eut lieu en 1877 et il sera opérationnel dès 1909, donc, il sera contemporain des événements ayant trait aux Gog et Magog dont la description fait penser aux nations coloniales et dont la présence en Afrique fut comparable à l’occupant romain en Judée, si bien que Jésus, là-bas aussi, en fit les frais. Le partage de l’Afrique entre les puissances européennes perdurera autour des années 1880 jusqu’à la première guerre mondiale. Ce sont ces mêmes puissances qui se dévoreront entre elles et élèveront le mur de la honte lors des deux Grandes Guerres. Difficile d’omettre l’esclavage, une page honteuse des nations dites civilisées à l’encontre des Noirs. Comment, avec tout ça, ne voulez-vous pas que le Messianisme ne soit méritant des Noirs eu égard aux maux les humiliant ? Comme une aubaine de Dieu, il sera décidé de l’abolition de l’esclavage dans ces colonies en 1848, trois ans après la réapparition du Mahdi (psl). Concernant les tremblements de terre, on y voit jusqu’à nos jours les effets dévastateurs, celui de San Francisco, en 1906, atteignant une magnitude de 8,5 sur l’échelle de Richter. Trois ans après, en 1909, le Mahdi (psl) répondait une seconde fois à l’appel de son Seigneur. Le Feu dont il s’agit est représentatif de l’invention de l’électricité, Pierre Borlow étant le premier à avoir conçu un moteur électrique en 1822. Edison sera le fondateur de la General Electric dont la période d’activité s’exercera à partir de 1876. L’Heure en arabe (Çaa) ne signifie pas la finitude de tout, elle peut être représentative de l’horloge où la montre servant à mesurer le temps dont l’invention fut d’une portée historique sans précédent. La montre-bracelet sera inventée dans le troisième tiers du 19ème siècle, vers 1904 et sera portée sur le poignet et sa portée s’étendra de génération en génération, comme si tout un chacun était marqué du chiffre de la Bête, parce que la montre est un marqueur du temps qui nous achemine vers la décrépitude, vers notre dernière demeure. A son sujet, le Prophète a dit ;
« J’ai été envoyé Moi et l’Heure comme ces deux-là (en désignant la proximité de ses deux doigts. » (Sahih Muslim).
Ce hadith est tellement vrai qu’on aurait cru que le Prophète faisait allusion à son retour puisqu’à deux ans avant sa parousie, c’est-à-dire en 1843, entrait dans l’histoire, le fameux Big Ben, chef d’œuvre pour les yeux regardant, sur son cadran, s’égrener le temps.
Etant un mystère pour beaucoup, Gog et Magog ont enflammé les débats, chacun y allant de sa propre interprétation, sans que l’on sache si bien de quoi il ressort. Lapidaire, le Coran rapporte :
« Ils dirent : « O Dhou’l-Qarnayn (Celui qui a deux cornes), les Gog et Magog répandent la corruption sur la terre. Pouvons-nous te remettre un tribut à condition que tu construises un barrage entre eux et nous ? » Il répondit : « l’établissement solide que m’a procuré mon maître est un bien. Aidez-moi avec force et j’établirai entre eux et vous un barrage. Apportez-moi des blocs de fer ». Puis lorsqu’il en eut comblé l’espace entre les deux montagnes, il dit : « Soufflez ! » Puis, quand le brasier fut allumé, il ordonna : « Apportez-moi du cuivre pour que je verse dessus. Les gens de Gog et Magog ne purent ni l’escalader ni l’ébrécher. Il dit : « C’est une miséricorde de la part de mon Maître. Mais lorsque la promesse de mon Maître viendra, il le nivellera. Et la promesse de mon Maître est vraie. Nous les laissons, ce jour-là, déferler comme les flots les uns sur les autres, et on soufflera dans la trompette et nous les réunirons tous ensemble. » S18 V94-99.
Le Coran décrit une situation de crise. Dhul Qarnayn (Celui qui a deux cornes) semble vouloir apporter son aide à des gens qui tiennent à les rétribuer en conséquence. Déclinant leur offre, il propose cependant dans cet énorme chantier, parce qu’il s’agit d’une grande construction, une certaine main d’œuvre. Dhul Qarnayn ne semble pas être un prophète, mais il est surtout de bonne foi, de surcroît, un croyant sincère. Du reste, ce n’est qu’à la sourate 18, qu’il fait irruption. Dieu, à la lecture des versets le concernant l’a gratifié d’un certain grade. Le barrage ou la fortification qu’il construira s’achèvera dans de bonnes conditions. Mais son édification, utile fut-elle, sera de courte durée, outre qu’à la fin d’une certaine ère, Gog et Magog. Dieu les fera se déferler les uns sur les autres pour une bataille ultime, leurs cadavres se compteront par milliers ? C’est ce que le Hadith suivant rapporte :
« … La terre sera infestée de leur odeur. Les hommes imploreront Dieu… Il enverra alors une pluie qui entrainera leurs cadavres pour les précipiter dans la mer… » (Les signes de la Fin des Temps, p.157)
Et tous auront des comptes à rendre. C’est d’ailleurs ce que laisse présager la suite des versets concernant Gog et Magog : « Ce jour-là, Nous présenterons la Géhenne aux incrédules d’une façon totale. Ceux dont les yeux étaient voilés, loin de la mention de Mon Nom, ceux qui ne pouvaient entendre. » S18, V100 & 101
Les dix signes avant-coureurs énoncés par le Prophète se suivent dans une chronologie logique où les événements semblent se succéder et s’enchaîner dans un même espace-temps. Il en résulte donc de la présence du Christ (Seydina Issa Rouhou Lahi (psl)) au moment où se déroule l’affrontement final ; opposant Gog et Magog au camp adverse.
Tout compte fait, la situation qui prévaut n’est pas loin de ressembler au débarquement de 1944 où l’assaut final lancé par les alliés contre les allemands aboutira à leur seconde défaite. De même, qu’à cette époque, en voulant donner une explication au barrage érigé par Dhul Qarnayn (le Bicornu) s’apparente censément à la Ligne Maginot, fortification militaire dont les travaux débutèrent dès 1929. A cette date, Seydina Issa était encore de ce monde. Le Coran cite : « Ils dirent : « Ô, Dhul Qarnayn, les Gogo et Magog… construis-nous un barrage… »
Ici, il faut faire le lien que c’est à la demande de l’Etat-Major (Conseil militaire regroupant les plus hauts dirigeants de l’armée) qu’André Maginot, alors Ministre de la Guerre l’a fait construire. Les derniers ouvrages de la Ligne furent construits en 1939. Cette fortification permettait de protéger la France d’une invasion allemande (vu sur le net). La Ligne Maginot avait pour objectif de prévenir les attaques surprises venant en particulier de l’Italie et de l’Allemagne, certainement Gog et Magog, dont l’un comme l’autre se prévalait dans leur idéologie lourde de conséquences : le fascisme et le nazisme.
Lorsque le Prophète (psl) parlait d’une brèche causée par Gog et Magog sur la fortification, il évoquait son contournement par les allemands en passant par la Belgique où ils purent l’encercler et en détruire une partie à coups d’obus. L’Histoire retient que la Ligne Maginot n’était efficace que temporairement, d’où le verset : « Nous les laisserons, ce jour-là, déferler comme les flots les uns sur les autres… »
Il est à noter que sa construction a nécessité, comme matériaux de base, du béton, du ciment, du bois, de l’acier, du fer, tel que rapporté par le Coran qui ne cite que le cuivre et le fer. L’identification du « Bicornu » ne fait pas l’unanimité auprès des exégètes. Ali ibn Abi Taleb, d’après la tradition, aurait dit de Dhul Qarnayn qu’il était un homme de grande piété et qu’il aurait eu deux vies. Il mourut une première fois et Dieu le fit se ressusciter une seconde fois d’où son nom de « Bicornu », tout comme Jésus qui ressuscita en 1877, André Maginot serait également né en 1877 mais qui était-il avant ? Dieu seul sait.
C’est un arrière-goût amer que les deux grandes guerres a laissé dans le gosier des hommes d’alors et ce jusqu’aujourd’hui. L’impact était si phénoménal que le Prophète n’en resta pas indifférent :
« Par celui qui détient mon âme entre ses mains, l’Heure n’aura pas lieu sans que les fauves ne s’adressent à l’homme, ni que les lanières de ses sandales, ou de son bâton ne lui parlent, ni que sa cuisse ne l’informe de ce qu’a fait sa famille pendant son absence. » (Tirmidhi, Les signes de la Fin des Temps, p.142)
C’est par devers le téléphone que l’on s’informe de notre famille durant notre absence. En 1876, Graham Bell dépose un brevet pour un système de transmission de voix. Muhammad (psl) en lieu et place de sa présence, un an avant la naissance de son fils Issa (psl). Les lanières de sandales, le bâton, sont les ingrédients même de ce que représentent les câbles et le combiné téléphonique. Il ne faut pas aller chercher loin pour comprendre que les fauves qui s’adressent à l’homme n’est autre que le dialogue entre deux interlocuteurs. Les fauves étant l’expression imagée du Morse, d’où le rappel du code Morse et l’invention du télégraphe dont le brevet fit accordé en 1840 pour lequel Alfred Bail créera un code original de transmission. Rappelons qu’au cours des deux grandes guerres, pour ne guerres. Le personnage intrigant et énigmatique de Dhul Qarnayn décrit dans le Coran, a tout des caractéristiques qui le confondrait à André Maginot. Le Coran cite à son sujet : « Et ils t’interrogent sur Dhul Qarnayn. Dis : « Je vais vous en citer quelque fait mémorable. » S18 V83
De faits mémorables, il n’y a d’esprits plus empreints que les esprits ayant vécu les troubles des deux grandes guerres en passant par le carnage, les bombardements, Nagasaki, Hiroshima, les temps de disette et de famine… Ni le Coran, ni le prophète ne pouvaient passer à côté de ça, sans y parler. Le Coran poursuit au sujet de Dhul Qarnayn :
« Vraiment, Nous avons affermi sa puissance sur terre et Nous lui avons donné libre voie à toute chose. » S18 V84
« Il (Dhul Qarnayn) suivit donc une voie ! » S18V85
Dieu dit, par la bouche de son prophète, avoir affermi sa puissance sur terre, ce qui lui confère un certain grade hautement distinctif. Au plus, être Ministres des Armées, ça n’est pas rien. Le lecteur aura libre court de suivre son parcours et sa biographie sur internet pour s’apercevoir qu’il occupait une place de choix dans la société. Le Coran poursuit et relate que le « BICORNU » dans son itinéraire est arrivé jusqu’au Couchant, puis il suivit une autre voie jusqu’à ce qu’il eût atteint le Levant…
« Il la suivit jusqu’à ce qu’il fut arrivé à l’endroit où le soleil se lève. Il trouva que le soleil se levait sur un peuple auquel Nous n’avons pas donné de quoi s’en protéger » CORAN S18V90
Manifestement, Dhul Qarnayn venait d’accéder au Sénégal, où, non seulement, le Soleil, astre en tant que tel, était à son zénith, mais aussi, il venait de mettre les pieds sur la terre du Mahdi Imamoul Lahi (psl) autre Soleil de l’Humanité. En effet, on apprendra qu’André Maginot fit une croisière en Afrique Occidentale Française, voyage officiel, en tant que Ministre des Colonies, de 1928 à 1929, où il sera reçu triomphalement à Dakar.
Sur le net, les chercheurs pourront évaluer l’ampleur du chantier qu’a représenté la Ligne Maginot. Ce n’est pas seulement une ligne de démarcation mais tout un ensemble de dispositif de défense ultra-perfectionné. Hormis une ligne quasi continue de barbelés, elle est composée d’éléments de défense : murs de béton, blindages, rails anti chars, postes d’observation, ouvrage d’artillerie et d’infanterie, fortifications, abris, blockhaus, réserves de vivres, de dortoirs et équipements radio de pointe. 20 000 personnes y ont travaillé. Au Sénégal, une avenue porte son nom et le fameux building Maginot.
Si tout ce que l’on vient de développer et si leur exactitude s’en trouve avérer dans le Coran et les hadiths, c’est qu’il était l’heure de considérer ce que Muhammad (psl) indiquait :
« L’heure n’aura pas lieu avant que les hommes n’aient eu honte du livre de Dieu… » (Les signes de la Fin des Temps, P.33)
A l’endroit des hommes et des djinns, le Mahdi Imamoul Lahi (psl) lançait aussi :
« Muhammad qui était blanc est devenu noir, érudits de mon époque, relisez vos Livres. »
Nous avons suivi conseils et nous avons déterminé qui, en fin de compte, était Dhul Qarnayn. Ce que certains sont allés chercher très loin, était en fait, tout proche des portes de l’Atlantique. Encore une fois, le voyage d’André Maginot et son accueil triomphal à Dakar, a prouvé que le Coran, dans son itinéraire était en train de donner des preuves claires et précises sur l’apparition du Mahdi, ici au Sénégal, seul pays où la parousie à son sujet fait débat. Dans ce même périple, André Maginot foulait pourtant le sol du Mali, du Soudan, de l’Algérie, du Maroc, etc… Mais aucun d’eux, subséquemment, ne fait mention imminente d’un quelconque Mahdi. L’endroit dont il est question dans le verset 93 et le peuple qui ne connaissait presque aucun langage sont propres aux indigènes qui ne maîtrisaient pas le français, tout comme André Maginot ne comprenait pas le leur.
Dans sa biographie, il est écrit que le nom d’André Maginot est associé à la construction, entre les deux grandes guerres mondiales, de la ligne de défense censée protéger la France d’une éventuelle invasion allemande ou italienne. Pourquoi « l’homme aux deux cornes » ? Parce que la corne symbolise la puissance et l’abondance, il cumule plusieurs postes. De simple soldat, il gravit les échelons jusqu’à ce qu’il fût nommé Ministre de la Guerre.
Dans la Bible, les cornes symbolisent les Rois; ce qui leur confère l’autorité et la puissance. « Les 10 cornes, ce sont dix Rois… » (Daniel 7:24)
Nous n’avons pas choisi André Maginot pour décider aléatoirement qu’il était Dhul Qarnayn. C’est le seul qui occupait les devants de la scène en ces années de construction où nécessairement le barrage ou la ligne Maginot justifiait même nos constatations pour conclure d’un rapprochement dans les évènements succédant le dévalement apocalyptique des Gog et Magog.
Nous savions d’Alexandre le Grand sa propension de conquérant mais pas de constructeur. L’histoire ne retient aucune édification ou fortification de défense de sa part, hormis les batailles qu’il livrât a différents royaumes dont les victoires se fragiliseront par la suite. Il n’existe aucune trace de sa présence en Afrique occidentale. De plus, il est antérieur aux Gog et Magog dont nous avons fait ici la présentation.
Le seul qui s’inscrit dans la continuité des évènements précités est bel et bien André Maginot et c’est la France qui est dans l’entre-deux-guerres. Alors qu’Hitler est en train de conquérir l’Europe -on parle de Blitzkrieg (guerre éclaire)-, l’armée française reste passive, à l’exception de quelques avancées en Sarre, optant pour une stratégie défensive grâce à la ligne Maginot… (Vu sur le net).
Depuis cette époque, le temps n’a cessé de se contracter, rappelant pour ainsi dire les paroles du Prophète :
« L’Heure n’aura pas lieu tant que le Temps ne se sera pas contracté, au point que l’année passera comme un mois, le mois comme une semaine, la semaine comme un jour, le jour comme une heure, et l’heure s’écoulera aussi vite qu’un tison enflammé (ne met de temps à se consumer) ». (Les signes de la Fin des Temps, p. 46)
Première partie des recherches d’Amir Taha